chapitre 1 : le début d'une nouvelle aire

Voila une de mes fictions qui est nul à chier et surtout bourrée de fautes d'orthographes... bref dites moi ce que vous en pensez.


Quoi qu’elle fasse, l’espèce humaine est vouée à mourir. Dés qu’un tsunami, qu’un cyclone ou qu’un tremblement de terre apparaît dans une zone peuplée, on peut être sur que dans les heures qui suivent, des centaines voire des milliers de morts sont à déplorer. S’en suit des semaines entières à demander des dons pour les victimes. Des reportages tous plus choc les uns que les autres envahissent nos télévisions et nos magasines à croire que la terre entière ne tourne que dans le but de nous montrer ce qu’il se passe dans ses pays lointain dont personne n’est particulièrement attaché.

Et puis on oublie. La conscience collective passe à autre chose, se remettant rapidement de n’importe quel drame comme si, du jour au lendemain, ce désastre était devenu moins dangereux, moins intéressant, moins meurtrier. A partir du moment où seule une minorité est touchée, tout peu continuer comme si rien ne s’était passé. Cela marche encore plus quand il s’agit d’un pays pauvre.

Mais si un jour, un cataclysme effroyable touchait la planète entière, que ce soit des pays en voie de développement, ou des pays riches, n’épargnant personne, créant un chaos total, tellement énorme qu’aucun pays ne pourrait se relever seul, nous pouvons être sur que la planète mettrait des siècles à se relever.

La population humaine est si fragile que cela serait simple de l’éliminer en quelques jours. Et des êtres machiavéliques pourraient en profiter et semer la panique.

Voila pourquoi, après de nombreuses catastrophes causées par la nature ou par l’homme, certaines mutations ont eu lieu chez des personnes du le monde entier, afin de protéger le peuple humain d’un désastre bien plus destructeur et meurtrier que ce que le monde avait connu jusqu’à présent.

Ils ne se connaissant pas, ils ne se sont jamais vu, ils ne parlent pas tous la même langue, et pourtant ils vont devoir cohabiter pour sauver leurs familles et leur pays d’une menace qui planent depuis des siècles sur notre monde.

Voici le récit de leur incroyable aventure. Si jamais cette histoire ce termine un jour, leur vie ne seront plus jamais les même et ils devront vivre avec ce « fardeau » ou ce « cadeau », selon le point de vue.

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Allemagne, Berlin, Lundi 8 février 2010, 7h59

Un jeune homme aux cheveux d’or courrait à travers les rues parsemaient de voitures et de passant de Berlin, capitale de l’Allemagne. Il transpirait malgré la température plus que basse, signe d’un effort physique important. Il essayait, en vain, d’arriver à 8h00 à son lycée, à l’autre bout de la ville.
Il était du genre à ne jamais abandonner. Et tous les matins, tenté d’arriver à l’heure dans ce lycée qu’il n’aimait guère. En effet, là-bas, il était de ceux à qui on n’adresse pas la parole, sous prétexte qu’il était… « Bizarre » . Selon les personnes qui cohabitaient avec, le fait que des légères griffure décorent son visage, ressemblant étrangement à des moustaches d’animaux, suffisaient à l’exclure du monde social que le lycée constituait.
Notre jeune héros était habitué à cela. Il avait toujours était seul, ces parents étant morts lorsqu’il n’avait que 10 ans.
A présent, il en avait 18, et était devenu assez séduisant pour un adolescent de son âge. Pourtant, aucune fille ne le regardait autrement qu’avec du dégout dans les yeux. Mais une fois encore, Uzumaki Naruto était habitué.

Il arriva enfin à son lycée, en retard, et fus refusé du cours. Il se dirigea vers la cafétéria, rejoindre son seul ami, un jeune homme de 25 ans nommé Hans qui travaillé là-bas.

« -Alors mon grand, encore renvoyé de cours ?
-Qu’est ce que tu veux, ils ne veulent pas me voir, alors ils se cherchent des excuses.
-T’es un peu arrivé à 8h30 aussi…
-Mais ce n’était vraiment pas ma faute !! Une veille dame traversée, je n’allais pas la laissé en danger quand même !
-hahaha, t’es vraiment doué pour trouver des excuses bidon toi !! »

Ils rirent de bon cœur, profitant du fait qu’il n’y est presque personne pour parler de leur activité favorite : Le risk, un jeu de stratégie. Ils pouvaient en parler des heures, débattant sur les meilleures techniques de combat et autres choses fortes intéressante sur ce jeu auquel personne ne comprenait jamais rien.

« -Laissa tomber, Naruto. A chaque fois tu me défi, et à chaque fois je te bas à plate couture.
-Je sais très bien que tu triche, et je veux trouver comment pour pouvoir faire la même chose !
-Laisse tomber le mioche, t’es trop con pour ça ! »

Hans et Naruto se retournèrent en entendant une voix familière dont ils avaient horreur. Guilhem se tenait face à eux avec, à ses côtés, un grand nombre de ses larbins. Ils étaient la bande des populaires, les sportifs dont toutes les filles étaient amoureuse. Mais s’était aussi un être méchant, méprisant, qui vous faisait vivre un enfer s’il vous avez en grippe.
Il s’approcha doucement, d’un air sur, de Naruto et le regarda d’un air supérieur.

« -Ben alors, m’sieur l’orphelin, on n’est pas content que ma bande soit arrivé pour te faire des misères ? Fais attention à ne pas faire dans ton pantalon… »

Ils éclatèrent de rires, comme si sa phrase avait était d’un humour foudroyant. Naruto regarda la jolie blonde nommée Agnella dont il était fou amoureux rire elle aussi de bon cœur.

Ils étaient de la pire espèce, et Naruto voulait leur faire payer de le martyriser.

« -Oh regardez le, il s’énerve, j’aurais presque peur !! »

Encore des rires. Toujours des rires. A croire qu’ils ne savaient faire que ça.
Il serra ses poings à s’en faire mal et fronça les sourcils ce qui lui donna un air réellement effrayant.
Soudain, les fenêtres de la cafétéria s’ouvrirent en grand, laissant passer un vent glacial qui faisait s’envoler tous les papiers et les détritus. Les filles crièrent, leur coiffure était foutue à présent. Tout le monde s’affaira à tenter de refermer les fenêtres, à remettre les bancs en place, à empêcher que tout s’envole tellement le vent était violent. Tous, sauf un. Naruto fixait toujours Guilhem et Agnella, qui n’avaient pas bronchés, légèrement tendus par le regard insistant de Naruto. Agnella se resserra contre Guilhem, ce qui eu pour effet d’énerver encore plus Naruto.
Une rafale s’engouffra dans la cafétéria, bien plus violent que la précédente, faisant tomber quelques personnes. Elle tourbillonna autour de Naruto, sans que ça eu un quelconque effet sur lui. On aurait dit que tout était calme, même ses cheveux ne bougeaient pas.
Tout le monde le regardait comme s’il venait d’une autre planète. A présent, tout le monde était à terre, les bancs s’envolaient, blessant au passage plusieurs élèves, les vitres avaient volées en éclat, touchant plusieurs étudiants. La salle ressemblait à un champ de bataille, le chaos régnait. Plusieurs personnes hurlaient, blessées ou juste effrayées.
Naruto restait toujours impassible, regardant intensément Guilhem et Agnella.

« -Arrête tes conneries, Uzumaki, on va tous crever si ça continue !!! »

Naruto se réveilla de sa léthargie et le vent s’arrêta. Il se sentit fléchir et tomba. Il ne sentit pourtant pas le sol contre son corps, il s’était évanoui.

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Etats-Unis, Chicago, état de l'Illinois, Mardi 9 février 2010, 10h30


Un jeune homme, à la peau d’albâtre et aux cheveux noirs dessinait tranquillement dans un parc. Il était habillé d’un pantalon noir et d’un t-shirt de la même couleur qui laissait deviner les muscles qui couvraient son corps. La neige commençait à recouvrir son corps, pourtant il ne bougeait pas, voulant à tout pris finir son dessin.
Son visage était inexpressif, comme à son habitude. Pourtant, son sourcil droit se fronça légèrement, alors qu’il regardait avec attention le tigre qu’il avait griffonné sur sa feuille de papier quelques secondes auparavant. Il était sur et certain qu’il avait dessiné son tigre droit, les 4 pattes sur le sol, fier et arrogant. Et voila que maintenant, il se retrouvé prés à bondir en dehors de la feuille.
L’étonnement se lisait clairement sur son visage. Et il s’accentua lorsque le tigre ouvrit la gueule, comme s’il allait rugir d’un instant à l’autre.

« -Sai, vient, tu vas attraper froid !! »

Une jeune fille lui ressemblant fortement, lui criait de la rejoindre pour qu’ils puissent enfin rentrer chez eux.
Sai referma son cahier à croquis, comme si rien ne s’était passé, et rejoignit sa sœur.
Peut-être que cette hallucination était simplement dut au fait qu’il s’était fait un rail de coke avant de venir… Oui, s’était cela, il n’y avait pas d’autre explication.

Alors que lui et sa sœur marchait tranquillement, une ombre s’approcha d’eux et les suivies jusque devant leur immeuble, se faufilant partout sans se faire remarquer.


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Japon, Kyoto, Mardi 9 février 2010, 14h26

Il frappait, encore et toujours, détruisant les morceaux de bois un à un. La concentration se lisait clairement sur son visage. Il se repositionna correctement, afin de ne pas recevoir de coups de la part de son frère. Ils se battaient encore et toujours, ne s’arrêtant que lorsqu’ils étaient épuisés. Il esquiva un coup de pied au visage et renchéri avec un coup de poing dans le ventre, que son fraternel réussi à éviter au dernier moment.
Leurs corps bougeaient avec grace et élégance, tout en se frappant violement l’un l’autre.

« -Les garçons, arrêtez-vous, Itachi doit partir à présent*
-Oui, Sensei »

Ils se saluèrent et firent de même avec le vieil homme qui venait d’entrer dans le dojo. Itachi partit, laissant le vieil homme seul avec le plus jeune des frères.
Le vieil homme se rapprocha de lui. Le contraste entre les deux hommes était flagrant, même sans prendre en compte les années qui les séparaient.
Le jeune homme était grand, mince et musclé. Ses cheveux noirs étaient relevés à l’arrière alors que deux mèches encadrées son visage fin que beaucoup envier. Il avait la peau plus blanche que blanche et les yeux d’un noir profond. De son côté, le vieillard était petit et trapu, obligé de marcher avec une canne. Ses cheveux blancs descendaient jusque sur le sol, ainsi que sa barbe, ce qui rappelait son âge avancé et sa peau avait bruni au fil du temps.

« -Vous voulez quelque chose, Sensei ?
-Sasuke… Je voudrais que, pour une fois, tu ne sois pas jaloux de ton frère.
-Qu’est ce qui vous fait penser cela ?
-Tu es fier et arrogant, et tu le regarde avec mépris.
-Cela ne vous regarde pas, Sensei.
-Au contraire, jeune homme, cela nuit fortement à votre apprentissage des arts martiaux. En effet, il ne s’agit pas simplement d’être fort comme un chêne et robuste comme une montagne. Il faut aussi être juste et doux comme les fleures du printemps.
-J’en ai assez de ses balivernes ! »

Sasuke fit coulisser la porte qui menait au jardin, et sorti du dojo pour se diriger vers le terrain d’entrainement extérieur que personne n’utilisait en cette période de l’année. Il était pied nu, et son kimono ne recouvrait pas entièrement son torse. Pourtant, il ne grelottait pas de froid, ni ne le sentait.

A l’intérieur, le vieil homme le regardait et murmura pour lui

« -J’espère que tu choisiras la bonne voix »

Et repartit pour laisser son élève seul.

La seule chose que Sasuke apprécié tout particulièrement, c’était la solitude. Il aimait entendre le silence, être seul au monde, au calme.
Autour de lui, tout était gelé. L’eau ne ruisselait plus sous les petits ponts, glacée par la température négative qui sévissait depuis plusieurs mois. Aucun animal ne chantait, trop occupé à dormir au fond d’un terrier ou à attendre les jours heureux.
Sasuke, s’assit dans la neige, croisa ses jambes et posa ses bras dessus afin de pouvoir méditer tranquillement.
Il était attentif au moindre bruit, même le plus insignifiant. Le bruit du vent dans les branches, le petit rongeur qui courrait dans la neige pour rejoindre son habitat, les enfants qui s’entrainaient de l’autre côté de la demeure.
Il sentit soudain une douce chaleur envahir son corps. Pourtant, la température devait atteindre les -5°. Il appréciait aussi cette chaleur. Chaleur qui n’apparaissait que lorsqu’il était seul et qui prenait possession de son corps tout entier. Il en frémit. Que c’était bon, presque jouissif.
Il ne savait pas combien de temps il était restait là, les yeux fermé à attendre on ne sait quoi. Peut être que cette chaleur sorte enfin de son corps.
Il ouvrit les yeux et, pour la première fois de sa vie, fut presque effrayé du spectacle qui se jouait devant lui.
Tout autour de lui, la neige avait fondu, et la température avait augmentait fortement. Les plantes avaient brulées, ainsi qu’une grande partie de son kimono.
Il regardait avec stupéfaction les alentours. Comment avait-il fait pour ne pas se rendre compte de tout ceci ? Comment cela s’était-il produit ? Puisque tout était brulé, pourquoi lui était-il encore là ?
Il se releva, et parti chercher son maitre pour avoir des explications, remettant son masque de froideur sur son visage.

On pouvait remarquer que, plus on s’approchait de l’endroit ou s’était assis Sasuke, plus le sol était carbonisé.

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Australie, Sydney, mercredi 10 février 2010, 21h54

Elle dansait, et dansait encore, sans s’arrêter. Selon elle, elle ne savait faire que ça. L’estrade sur laquelle elle était tremblait à chacun de ses mouvements, mais elle s’en fichait éperdument.
Elle riait aussi, donnant à son visage un air enfantin et cristallin. Ses lèvres rosies donnaient terriblement envie à beaucoup d’homme, tout comme le reste de son corps. Mais ça aussi, Sakura Haruno s’en fichait royalement.

La musique s’arrêta. Elle descendit et s’engouffra dans la foule pour rejoindre un bar improvisé et se prit une bière qu’elle but d’une traite. Un homme lui mit la main aux fesses en passant, elle se retourna vers lui et, ravie de sa beauté, l’embrassa à pleine bouche. S’en suivit plusieurs danses endiablée, beaucoup trop d’alcool pour elle, plusieurs caresses bien placées.

La fête se déroulée dans un quartier pauvre de Sydney. Les rues étaient sales, les maisons biscornues et moches, renforçant l’idée de pauvreté. Sakura vivait là depuis toute petite, seule. Elle n’avait pas de famille, pas de travail, pas d’amis fixe, pas de petit copain à temps pleins. Cette vie, elle l’adorait. Elle était libre comme le vent et personne ne pourrait la lui enlever.

L’homme dont elle ne connaissait rien, l’emmena dans une ruelle éloignait, sombre et étroite. Il l’a plaqua contre le mur, et commença à lui soulever la robe qu’elle portait. Elle voulut le pousser, mais la force lui manquait, dut à son petit gabarit mais aussi aux nombreux litres d’alcool qu’elle avait avalé durant la journée.
Elle essaya de le frapper, s’en pourtant réussir à lui faire mal.

Se soir, elle n’avait pas envie, elle voulait juste danser. Elle en avait marre des hommes. Il ne voulait que son corps, et ça commençait à lui peser. Elle, n’était pas qu’une fille aux cheveux colorés en rose, elle était intelligente et têtue. Mais ça ils s’en fichaient, ils voulaient juste la posséder pendant une heure ou deux.

Lorsqu’il commença à enlever sa culotte, Sakura se réveilla soudainement de sa somnolence et, se sentant soudainement puissante, frappa l’homme au thorax.

Sans qu’elle ne s’y attende, l’homme fit un vol plané contre le mur d’en face, et le transperça pour se retrouver allongé dans une cave.
Sakura n’en crut pas ses yeux. Comment avait-elle put l’envoyer valser comme ça ?
Elle s’approcha doucement du corps inerte, comme s’il pouvait se relever d’une seconde à l’autre.
Elle entra dans la cave et vit avec horreur, le corps de l’homme, baignant dans son sang. Sang qui s’échappait d’un trou béant dans sa poitrine, un trou qui avait la forme d’un poing.

Sakura se mit à courir. Elle courut jusqu'à en plus pouvoir. Il fallait qu’elle s’en aille de cette ville. Des dizaines de personnes l’avait vu en compagnie de cette homme, et sa blessures était trop….anormale.

Elle courut jusqu’en dehors de la ville pour se rendre à la capitale, Canberra et partir du pays le plus vite possible.


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Pendant les jours qui ont suivis, prés d’une dizaine de personnes dans le monde on eu le même genre de problèmes, se retrouvant dans des situations improbable et effrayante. A partir de maintenant, les dés sont jetés, c’est le début d’une nouvelle ére pour la planète.

J'ai vu quelques fautes assez... OMG choquantes, mais comme j'en fait autant sinon plus j'ai qu'a la fermer.

Sinon j'aime beaucoup l'histoire, hormis le fait que les personnages de "Naruto" (On devrait dire "Sasuke" non?) sont les héros de ton histoire.

C'est plutot bien écrit et attrayant. J'ai hâte de voir la suite.

j'aime bien! décidément tu aimes les fins du monde toi ou du moins les grands changements!!

comme d'hab je trouve que c'est bien écris et j'ai hate de lire la suite si utl'écris un jour.
je comptes sur toi

pour ce qui est des fautes d'orthographes c'est pas moi qui te ferait la leçon ^^